Les secrets de Georges Clooney..what else?

Publié le par lillydream

Il n’est pas que beau. Regardez nos photos, il a aussi dans l’œil un petit air moqueur, comme s’il pensait en permanence : « Oui, je sais, je suis craquant. » Alors oui ! on craque, les femmes comme les hommes. Le docteur Ross d’Urgences aurait dû durer le temps d’une série télé, et ça fait plus de dix ans qu’il ne lâche pas notre imaginaire. Il ne manquait plus qu’il s’engage pour quelque belle cause pour atteindre la perfection. Et voilà qu’il se bat pour le Darfour. Un sans-faute. Alors la faille, où est-elle ?

Ce que j'apprécie chez cet homme, ce n'est pas forcément son sex appeal mais plutôt la passion qu'il met dans ses engagements.

L’idée de faire des films plus politiques ?
George Clooney : Oui, mais personne ne vous encourage jamais à faire un film politique. On veut que vous restiez glamour. Il a été très difficile de monter Syriana en 2004, à un moment où les gens étaient pour la guerre en Irak. Ceux qui étaient de mon avis ne le clamaient pas sur les toits. Soyons francs : jusqu’au 11 septembre 2001, l’immense majorité des Américains ne voyait aucune différence entre un Israélien et un Arabe. Pour eux, le Proche-Orient, c’était des types avec une serviette sur la tête. Avec Syriana, on voulait montrer un monde ignoré de la plupart des Américains. Mais quand on a du succès, on se sent obligé de faire quelque chose d’utile. Sinon, on pense que tout cela va s’arrêter.



Publié dans L'internationale

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B
What else ? ou noise campaign: on est forcément d'accord avec georges Clooney dans ces cas la, puisqu'il nous laisse lui prêter nos opinions au lieu d'exprimer les siennes; du grand art dans la suggestion et la manipulation de son auditoire!!!!
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